Fourrure : « l'empreinte environnementale est très limitée »
Multipostit B2 -
3 années depuis
Alors que le groupe Kering a annoncé vendredi l'abandon par Saint Laurent et Brioni de l'usage des fourrures, le biologiste australien Daniel Natusch redoute que la fin progressive du commerce des peaux animales à destination des marques de luxe ait un effet néfaste sur la biodiversité dans certaines régions du monde.